"Vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français"


"Vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français"
Ceci n'est qu'un poème Ceci n'est qu'une œuvre d'art Juste un droit d'expression ... Rien de plus En réponse à l'innommable allocution du 24 août 2022 adressée aux citoyennes et aux citoyens de la France par celui qui se prétend aujourd'hui indûment le président, Bruxelles au bas du 26-27 Grand-Place, ce 26 août 2022, 8 heures. "Monsieur, Vous, qui pendant cinq ans avez ruiné la France et mis son peuple à mal... Les cinq ans révolus, voici que vous voulez à peine réélu renouer par la guerre avec l'intempérance. Quoi? Le peuple français se serait donc surpris à reconduire en vous avec exubérance le Scylla de Charybde et donc perdrait l'esprit? Allons, soyons sérieux, tout cela nécessite au moins la mise au point que la question suscite car le temps qui nous presse à présent s'est lassé et l'affaire à mes yeux ne peut être classée: vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français. Vous ne représentez ni le peuple de France ni ses valeurs dont vous vous êtes prévalus pour mieux les bafouer et, de ce que j'ai lu, justifier désormais votre belligérance. Sur ce point déjà la France vous a repris car c'est envers la paix que va sa préférence. Les sondages font foi, je me les approprie, non ceux que votre presse agite sur ses sites mais ceux que les Français dans la rue sollicitent en s'opposant au plan dont vous les menacez. La France est pacifiste et sans vous offenser, Monsieur, vous n'êtes pas président des Français. Si vous vous prétendez président de la France, Monsieur le dictateur aux airs d'hurluberlu, ce n'est parce que les Français l'ont voulu mais c'est en pratiquant la fraude, en l'occurrence la fraude électorale et vous l'aurez compris, je ne viens pas ici faire ma révérence à ce malfrat qui double en vous le malappris. Mais pour faire cesser comme de droit, je cite, le trouble dit manifestement illicite que constitue le fait de vous voir exercer alors que le scrutin ayant été faussé, vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français. Vous êtes un tyran, des plus fourbes qu'en France on ait vu gouverner, qu'il fût ou non l'élu, et les lobbies auxquels vous êtes dévolu ont soumis le pays à d'ignobles souffrances parmi les pires qu'ait subi notre patrie, celles d'un peuple entier plongé dans l'ignorance et dans la peur par vous et votre coterie. Peuple que vous forcez par un accord tacite au son de la leçon que vos médias récitent à oublier ses droits au point d'y renoncer au péril de sa vie! Je dit que c'est assez: vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français Vous usurpez ce titre et le peuple de France devra donc vous l'ôter pour son propre salut avant qu'il soit trop tard, avant qu'il soit exclus de son droit par les lois qui y font référence, ce droit que vous voulez conserver à tout prix et dont vous abusez, Monsieur, avec outrance. Ce droit, il faut le rendre à qui vous l'avez pris, c'est le sens de ma lettre et je me félicite qu'elle pose problème à qui vous phagocyte et pour qui vous œuvrez comme chacun le sait. Mieux vaut pour vous l'entendre avant votre procès: vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français Vous n'êtes rien de bon au regard de la France, rien qu'un opportuniste, un Panulfe de plus qui sortant de l'école encore frais moulu fût vendu comme maître au peuple en déshérence mais vous êtes l'esclave et non le dieu compris des fous qui n'ont misé que sur votre apparence. Et ce que vous avez pour leur compte entrepris devient aux yeux de tous tellement explicite que la France, la vraie, contre vous ressuscite. Si la liberté a un prix sachez que c'est aux Français non à vous dès lors de le fixer. Vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français Non content d'injurier le bon peuple de France, vous souillez son honneur par vos mœurs dissolues, vous bradez ses trésors par des marchés conclus avec ceux qui voudraient régner sans concurrence sur le monde entier et dont vous semblez épris au point de leur donner un pouvoir d'ingérence. Vous traitez donc ainsi, Monsieur, par le mépris le droit que tout peuple a de manière implicite, celui de disposer de lui par plébiscite. En lui ôtant ce droit vous vous dessaisissez et c'est donc hautement que vous le trahissez: Monsieur, vous n'êtes pas président des Français. Vous n'êtes pas, Monsieur, président de la France et la guerre qui manque à votre plus-value, nous ne la ferons pas pour vous, n'en parlons plus. Ici, abandonnez, Monsieur, toute espérance de gouverner encore: vous avez trahi. Et c'est pourquoi, Monsieur, à votre différence, puisque vous ne représentez pas mon pays, j'entreprends l'ambassade à laquelle j'incite ceux qui veulent mener mais avec réussite un plan de paix mondial enfin vers le succès à me rejoindre puisqu'il nous faut avancer et que vous n'êtes pas président des Français. Envoi, valet de Big Pharma, fossoyeur de la France, criminel patenté, menteur irrésolu, vous qui pour restaurer le pouvoir absolu êtes prêt à jeter le monde dans l'errance et dans la guerre comme dans tous vos excès. Nonobstant la sentence que doit prononcer en vous destituant la haute conférence et n'en déplaise à ceux qui baisent vos lacets, vous n'êtes plus en droit de gouverner la France et c'est ce que ma plume ici vient dénoncer. Vous n'avez pas le droit de gouverner la France: vous n'êtes pas, Monsieur, président des Français."

Commentaires

  1. Ces fous n’entendent rien,
    Le mal est leur seul bien.
    On aurait beau crier,
    Rien, non, rien n’y ferait.
    Le peuple est sourd aussi,
    Et aveugle – tant pis !
    Il faut que tout s’effondre,
    Laissons tout s’effondrer.
    Il y faudra répondre
    Par un esprit en paix.

    RépondreSupprimer
  2. Les mots, les phrases, la grammaire de ce poème résonnent fort en moi. C'est tellement rare de nos jours de choisir ce mode d'expression qui est pourtant des plus signifiant car il allie la force de la syntaxe avec la couleur des rimes pour asséner un message puissant. Bravo !

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire