L'absence des partis politiques face à la montée d'un état totalitaire : Un rappel de la responsabilité politique


Les dernières années ont été marquées par des événements sans précédent, notamment l'escroquerie de la fausse crise sanitaire mondiale. Cependant, un aspect inquiétant a émergé : l'absence des principaux partis politiques au moment où se mettait en place un état totalitaire sous le prétexte d'une plandémie artificielle.

Pendant cette période cruciale, seuls quelques partis, tels que ceux de Philippot, Dupont-Aignan et Asselineau, ainsi que l'ancienne Député Martine Wonner, ont véritablement pris position contre les mesures gouvernementales. Ces voix dissidentes ont choisi de s'opposer à la Doxa, malgré les risques politiques inhérents à une telle position.

Le constat amer est que lorsque des décisions cruciales étaient prises, des décisions qui auraient pu éviter des conséquences dramatiques pour de nombreux citoyens, la plupart des partis politiques traditionnels étaient aux abonnés absents. La peur d'une réaction négative sur le plan électoral semble avoir primé sur la responsabilité de protéger les Citoyens.
Aujourd'hui, alors que les conséquences néfastes se font sentir et que les victimes de certaines politiques sont de plus en plus nombreuses, les partis politiques font preuve d'une résistance de la dernière heure. Le parallèle avec les moments clés de l'Histoire, tels que la Libération, est frappant. On observe une arrivée soudaine de ces acteurs politiques, prêts à soutenir les victimes et à se positionner en défenseurs des droits fondamentaux.
Cependant, il est difficile d'ignorer le fait que si ces partis avaient agi en temps et en heure, de manière proactive au lieu de réactive, de nombreuses victimes auraient pu être évitées. L'Histoire, semblable à un éternel recommencement, rappelle que la prévoyance et le courage politique sont essentiels pour prévenir des tragédies inutiles.
Il est crucial de souligner la différence entre ceux qui étaient rémunérés pour protéger les intérêts des Citoyens et qui ont failli à cette tâche, et les véritables Résistants. Ces derniers, souvent non payés, ont pris des positions impopulaires et ont parfois payé le prix fort en devenant persona non grata dans le paysage politique.
Jean Moulin et la résistance étaient considérés comme étant des "terroristes", alors que nous avions un statut presque similaire, celui de "complotistes". Le groupuscule identitaire mafieux #ConspiracyWatch ayant même poussé à sous-entendre que nous étions aussi dangereux que des "terroristes". Souvenez-vous de l'amalgame avec la fausse attaque du Capitole aux USA !

En conclusion, cet épisode de l'Histoire contemporaine met en lumière la nécessité d'une vigilance constante et d'une responsabilité politique indéfectible. Alors que les élections européennes approchent, il est impératif que les Citoyens se questionnent sur les motivations de ceux qui aspirent au pouvoir politique et sur leur engagement réel à protéger les intérêts de la population.
Ne succombez pas au Syndrome de Stockholm ! S'imaginer que le changement viendra de ceux qui sont à l'origine du problème est tout simplement de l'UTOPIE ! On n'éteint pas le feu par le feu ! Mettez de côté votre militantisme pour les partis politiques, prenez de la hauteur sur la situation, replongez-vous dans les archives, et gardez la tête froide pour ne pas reproduire les mêmes erreurs qui s'enchaînent depuis 50 ans !
PS : La seule chose qui intéresse les partis politiques, c'est votre bulletin de vote. Ils se mettront à genoux pour l'avoir ! Une fois obtenu, ils vous feront mettre à genoux !


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